La Haute Cour de Delhi accorde un allègement aux bailleurs de GoAir et demande à la DCGA de radier l'immatriculation de 54 avions en…

Ajay Singh, qui cherche des fonds pour consolider les opérations de SpiceJet, pourrait trouver une bouée de sauvetage en participant en tant que bras opérationnel de GoAir relancé.

La Haute Cour de Delhi accorde une réparation aux bailleurs de GoAir et demande à la DCGA de radier ensuite l'immatriculation de 54 avions… (Source de l'image : iStock)

Guaïr: La Haute Cour de Delhi a accordé une réparation au transporteur aérien indien GoAir, qui avait loué 54 avions à GoAir, immobilisés au sol depuis mai dernier. Le tribunal a ordonné à la Direction générale de l'aviation civile (DGCA) de radier ces avions dans un délai maximum de cinq. jours ouvrables, offrant une lueur d'espoir aux bailleurs qui souffrent de l'immobilisation de la compagnie aérienne depuis une longue période.

Allègement pour les locataires

La décision du tribunal constitue un soulagement bienvenu pour les bailleurs, qui ont eu du mal à récupérer leurs avions en raison de l'arrêt opérationnel de la compagnie aérienne. Avec la directive de radiation de l’immatriculation des avions, les bailleurs peuvent désormais prendre les mesures nécessaires pour protéger leurs actifs et explorer des itinéraires alternatifs.

Cependant, le chemin vers la relance de GoAir dans le cadre du Code de l'insolvabilité et de la faillite (IBC) est devenu plus difficile. Des rapports indiquent que les compagnies aériennes indiennes de Tata et IndiGo, riche en liquidités, courtisent les bailleurs pour acheter environ 15 avions de la famille Airbus A320, qui pourraient rapidement être remis en service. Cette concurrence pour les avions pose des obstacles supplémentaires aux efforts de relance de GoAir.

READ  Algérie : les peines de prison s'accumulent contre d'anciens chefs de gouvernement pour plus de corruption

Les problèmes de moteur continuent

Alors que certains avions peuvent trouver rapidement un nouveau logement, les autres sont confrontés au défi de trouver des remplacements pour leurs moteurs et pièces en panne auprès de Pratt & Whitney. L'incapacité du motoriste à fournir des remplacements en temps opportun a immobilisé plus de 75 avions IndiGo, aggravant ainsi la crise à l'échelle du secteur.

Négociations et incertitudes

La coalition dirigée par Nishant Beti, dont SpiceJetLe directeur général Ajay Singh, qui cherche à relancer GoAir sous l'IBC, devrait participer aux négociations avec les bailleurs pour l'avion en état de navigabilité. Cependant, la décision finale des bailleurs reste incertaine, avec des offres concurrentes d'acteurs établis comme Air India et IndiGo vis-à-vis d'un consortium avec des connexions SpiceJet.

Directives et restrictions du tribunal

La juge Tara Vitasta Gangu de la Haute Cour de Delhi a accordé aux bailleurs l'autorisation d'effectuer la maintenance des avions cloués au sol jusqu'à ce qu'ils soient radiés de l'immatriculation et exportés conformément à la loi indienne. Pendant ce temps, le Resolution Professional (RP) de GoAir et la compagnie aérienne elle-même se sont vu interdire d'accéder à l'avion ou de l'exploiter, ce qui ajoute des contraintes juridiques à la situation.

En réponse à la décision du tribunal, Nishant Bitti a déclaré l'engagement du consortium à évaluer sa position et à ajuster en conséquence son offre proposée pour GoAir, en mettant l'accent sur le respect du processus juridique et des objectifs stratégiques. Des sources indiquent que le consortium souhaite avancer dans le processus de résolution, en vue de poursuivre l'arbitrage entre GoAir et Pratt & Whitney à Singapour, ce qui pourrait permettre d'obtenir une somme importante pour aider à relancer la compagnie aérienne.

READ  Tempête économique qui se prépare avant Glasgow et Noël

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *