L’économie fonctionne correctement, malgré tous les obstacles

Par Le Citoyen Reporter

De nombreux reportages provenant de diverses sources – locales, régionales et internationales – ont été positifs à toutes fins pratiques concernant les récentes performances économiques de la Tanzanie.

Selon le Fonds monétaire international (FMI), le PIB réel de la Tanzanie a augmenté de 4,8 % en 2020, atteignant 64,4 milliards de dollars : bien plus que 60,8 milliards de dollars en 2019.

En fait, le taux de croissance moyen du PIB réel du pays de 6,3 % sur la période 2010-2019 a fait de la Tanzanie l’une des économies à la croissance la plus rapide en Afrique en particulier – et dans le monde dans son ensemble.

Sur la base en partie de cette performance relativement en livres sterling dans des conditions très difficiles, le Fonds monétaire international a prévu que l’économie tanzanienne connaîtra une croissance d’au moins 4,0 % en 2021 ; 5,1 % en 2022 – et 6,0 % en 2026.

A titre de comparaison – et ne serait-ce que pour le plaisir – la Banque africaine de développement (BAD) prévoit que « la croissance du PIB de la Tanzanie restera stable à 6,4 % en 2020 et 6,6 % en 2021 – mais compte tenu des conditions météorologiques favorables et finances, gestion prudente, atténuation des faiblesses du secteur financier et mise en œuvre de réformes pour améliorer l’environnement des affaires.

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Si l’on se souvient qu’en mars 2020, la Tanzanie a été victime de la pandémie mondiale de Covid-19 qui continue de dévaster l’humanité et les économies aux niveaux national et mondial, alors la croissance économique continue de la Tanzanie au milieu des limites de l’évolution miraculeuse maladie du coronavirus.

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Comme le dit la Banque africaine de développement, la croissance économique et l’emploi durables – en particulier dans des circonstances extrêmement difficiles, notamment des pandémies mondiales et un changement climatique apparemment implacable – dépendent d’une gestion financière prudente, de l’atténuation des faiblesses du secteur financier et d’un environnement propice aux affaires. .

Comme c’est vrai, disons-nous chaleureusement. Heureusement pour nous, nous avons le président de la Fédération Samia Solo Hassan et le président de Zanzibar Hussain Ali Mwinyi qui sont en charge de l’économie.

Tous deux travaillent sans relâche pour explorer et exploiter les opportunités de développement social et économique inclusif et durable grâce à un climat fonctionnel propice à l’investissement et aux affaires dans les économies verte et bleue jusqu’à présent inexploitées.

Nous leur souhaitons de réussir dans cette noble entreprise.

NATGAS – énergie propre ou pas

Si la proposition de l’UE de classer le gaz naturel (« natgas ») comme « énergie verte » est approuvée de manière concluante par les autorités compétentes, ce sera un changement positif pour la richesse en gaz naturel de l’Afrique.
En 2020, l’Afrique « abritait » un total de 630 000 milliards de pieds cubes (tcf) de réserves de gaz naturel, dont 57tcf en Tanzanie.
Mais de nombreux pays puissants du monde considèrent le gaz naturel comme un combustible fossile (sale) et refusent d’investir dans son développement de quelque manière que ce soit.
En fait, 20 pays (dont les États-Unis et le Canada) et cinq banques internationales de développement (dont la Banque mondiale) se sont engagés lors de la 26e Conférence des Parties (COP26) à Glasgow en novembre dernier « à cesser d’approuver le financement du développement des combustibles fossiles par le fin 2022. » Dès lors, la proposition de l’Union européenne de classer le gaz naturel en énergie verte est un soulagement car, à terme, les propriétaires de réserves de gaz naturel peuvent désormais les exploiter pour un développement productif.
Mais, cette classification doit également s’appliquer en dehors de l’Union européenne pour être bénéfique aux pays riches en gaz naturel comme la Tanzanie, le Mozambique, l’Algérie, le Sénégal, la Mauritanie et le Nigeria en Afrique. Par conséquent, nous exhortons sincèrement l’UE et d’autres parties prenantes honnêtes – y compris l’OPEP et l’APPO – à exposer et à contredire le soi-disant « programme de transition énergétique » qui cherche à éliminer progressivement les combustibles fossiles/hydrocarbures au profit des énergies renouvelables.

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