L’ONU a déclaré que l’Algérie devrait participer à la résolution du problème du Sahara

NEW YORK – Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans son rapport au Conseil de sécurité sur la question du Sahara publié jeudi, a déclaré que l’ONU Il a réaffirmé les fondamentaux du processus politique, tels que recommandés par le Conseil de sécurité dans toutes ses résolutions depuis 2018.

António Guterres a déclaré croire fermement qu’une solution politique à la question du Sahara est possible, ajoutant que l’ONU est prête à rassembler « tous ceux qui sont concernés » par la question du Sahara dans le but de parvenir à une « solution politique » conformément aux résolutions du Conseil de sécurité. A partir de 2018.

Il a appelé à « saisir d’urgence » l’opportunité offerte par les efforts de son envoyé personnel Staffan de Mistura, notant qu' »une volonté politique forte est nécessaire pour trouver une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable conformément aux résolutions 2440″. 2018), 2468 (2019), 2494 (2019), 2548 (2020) et 2602 (2021).

António Guterres a exhorté toutes les parties impliquées à aborder le processus politique, en l’occurrence les tables rondes établies par les résolutions du Conseil de sécurité de 2018, « avec un esprit ouvert et à renoncer aux conditions préalables au processus politique », « en tenant compte des précédents » établis par les précédents individus émis par les résolutions actuelles du Conseil de sécurité dans les approches actuelles et futures.

2440 (2018), conformément aux résolutions 2468, le président de l’ONU a souligné le rôle de la Minurso, qui reflète l’engagement des Nations unies et de la communauté internationale en faveur d’une solution politique, juste, durable et mutuellement acceptable au conflit du Sahara. (2019), 2494 (2019), 2548 (2020) et 2602 (2021) ».

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Dans son rapport, le secrétaire général de l’ONU a dénoncé l’Algérie à quatre reprises :

1- Il a appelé à la participation de « toutes les parties concernées » au processus politique, y compris la responsabilité pleine et entière de l’Algérie dans ce différend territorial, et a réaffirmé les résolutions du Conseil de sécurité qui ont désigné l’Algérie comme principale partie à 5 reprises. La fausse affirmation de l’Algérie est « les deux parties ».

2- Il a mentionné que depuis 2018, les résolutions du Conseil de sécurité sont la seule base d’un règlement politique. Ces résolutions appellent exclusivement à une solution politique, réaliste, pratique, durable et de compromis à cette question régionale.

3- Il a appelé à la reprise du processus des tables rondes instauré par les résolutions du CSNU à partir de 2018 avec la participation de « toutes les parties concernées ». C’est un rappel direct à l’ordre pour l’Algérie qui refuse de reprendre sa place autour des tables rondes.

4- Il a clarifié le mandat de la MINURSO en faveur d’une solution politique dès 2018, rejetant catégoriquement le soi-disant plébiscite, réorganisé par l’Algérie et le « Front Polisario » séparatiste, enterré par le chef de l’ONU. Conseil de sécurité depuis plus de deux décennies.

Ainsi, en insistant sur les résolutions du Conseil de sécurité depuis 2018, Guterres démolit à juste titre des projets obsolètes et des projets morts et enterrés. A travers la question du Sahara, y compris l’Algérie, il affirme que le processus des tables rondes avec la participation de « toutes les parties concernées » est le seul moyen d’aboutir à une possibilité politique, réaliste, durable, pratique. Une solution à ce problème régional.

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