Un Algérien sommé d’entrer dans la sécurité pour contact sexuel

L’accusé est emmené dans la cellule de la prison du tribunal.

KUCHING (31 août): Le tribunal d’instance a ordonné hier à un chômeur algérien de plaider contre trois chefs d’accusation et un chef d’agression sexuelle sur sa fille de 14 ans.

Le juge Dayang Elin Narisa Abang Ahmad a conclu que l’accusation avait réussi à prouver une preuve prima facie contre l’accusé de 50 ans.

Il a également ordonné à l’homme d’entrer en détention les 28 et 31 octobre.

Selon les trois chefs d’inculpation de l’article 376 B (1) du Code pénal, qui entraîne une peine de 30 ans d’emprisonnement et de bastonnade, l’accusé se serait livré à des relations inappropriées contre sa fille en 2012, 2014 et mai 2019.

Les trois allégations auraient été faites dans un village de Petra Jaya ici.

Il est également entendu que l’homme, un ancien entraîneur de gym, a épousé une femme locale et vit ici depuis.

En mars 2020, il a plaidé coupable à l’accusation portée en vertu de l’article 14 (a) de la loi de 2017 sur les infractions sexuelles contre les enfants, pour avoir prétendument agressé physiquement sa fille.

L’article prévoit une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 20 ans et le fouet en cas de condamnation.

Pendant ce temps, Dayang Elin a acquitté l’homme des accusations d’intimidation criminelle contre sa fille et d’une quatrième accusation de rapports sexuels contre la femme après que l’accusation n’a pas réussi à prouver l’accusation principale contre lui.

Il aurait menacé de tuer sa fille en mai 2019 pour avoir proféré des menaces criminelles, une infraction répertoriée à l’article 506 du Code pénal, qui, en cas de condamnation, est passible d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à sept ans ou d’une amende ou des deux.

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Une quatrième accusation de sédition pour un acte présumé en mai 2020.

Le DPP Daniel Muhammed Ali a poursuivi et l’accusé n’était pas représenté par des avocats.






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