Freiner les manifestations pacifiques antidémocratiques

Bien que l'Algérie ait fait quelques progrès dans sa transition démocratique, des inquiétudes subsistent quant à la répression par le gouvernement de l'opposition pacifique.

Carnets de développement Cinq ans après le début du mouvement anti-Hirak, les autorités algériennes continuent de réprimer les droits à la liberté d'expression et de réunion pacifique, selon des informations.

Nous comprenons que les autorités ciblent les voix dissidentes, qu’il s’agisse de journalistes, de manifestants ou de ceux qui affichent leurs opinions sur les réseaux sociaux.

Après l’arrêt du mouvement anti-Hirak en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19, les autorités algériennes ont intensifié leur répression des manifestations pacifiques.

Bien que les manifestations du Hiraq aient été en grande partie pacifiques, les autorités algériennes ont réagi par des tactiques dures, notamment des arrestations arbitraires, des détentions et un recours excessif à la force pour disperser les manifestants.

Les organisations de défense des droits humains ont documenté de nombreux cas de militants, de journalistes et de manifestants pacifiques pris pour cible, menacés et harcelés par les forces de sécurité.

Le gouvernement algérien a également utilisé des moyens légaux pour réprimer la dissidence, notamment une législation supplémentaire et restrictive sur la liberté d'expression.

Des lois telles que le Code pénal et la loi antiterroriste sont utilisées pour criminaliser les manifestations pacifiques et justifier la répression des militants et des personnalités de l'opposition.

Les conclusions d'Amnesty International montrent que des centaines de personnes ont été arbitrairement arrêtées et détenues, tandis que des dizaines de manifestants pacifiques, de journalistes, de militants et de défenseurs des droits humains continuent de croupir derrière les barreaux pour avoir critiqué les autorités.

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Carnets de développement L'Algérie appelle le gouvernement à garantir que les avocats spécialisés dans les droits de l'homme, les journalistes et les syndicalistes soient autorisés à exercer librement leurs droits et à exprimer des opinions critiques sans crainte de représailles.

Crédit photo : RYAD KRAMDI/AFP via Getty Images

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