Google Doodle fête les 111 ans de Taos Amrouche

Google Doodle rend hommage à la chanteuse et écrivaine kabyle-algérienne-française Davos Amrouche, l'une des premières femmes algériennes à publier un roman.

Né à Tunis, en Tunisie, en 1913, après que ses parents ont quitté l'Algérie, Amrouchi aurait célébré aujourd'hui son 111e anniversaire.

L'auteur a fréquenté l'école à Tunis avant de s'installer en France pour fréquenter l'université en 1935. Google Doodle a déclaré.

Il collectionne et interprète les chansons de Kapil avec sa mère et son frère, qu'il continuera à utiliser lorsqu'il recevra une bourse pour analyser la musique espagnole et berbère à la Casa Velázquez, une institution artistique en Espagne.

Le peuple Gable fait partie de la plus grande communauté culturelle, linguistique et ethnique homogène d'Algérie, les Berbères d'Afrique du Nord. Algérie.com.

Profondément impliqué dans les traditions orales du peuple kabyle, il s'est rendu en Algérie pour en apprendre davantage sur son héritage ethnique.

Son premier roman, Jacinthe Noir (Jacinthe noire), publié en 1947 et considéré comme l'un des premiers livres publiés par une Algérienne. Le livre décrit une femme tunisienne issue de deux cultures.

Un autre roman d'Amruch, Rue des tambourins (Rue des Thabors), est autobiographique et reflète son enfance, selon Google Doodle.

Elle a également libéré La Graine Mantra (Grain magique), un recueil de poèmes, proverbes et légendes de Kapil, traduit en français par Amrouch.

Cependant, Amrouch n'a pas cessé d'écrire tout en rendant la culture berbère plus accessible, puisqu'il a également chanté des chansons traditionnelles berbères en français.

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Chansons de Berberes de CapiliSon premier album, qui connaît un grand succès, donne lieu à quatre autres albums tout au long des années 1970.

Les histoires et les chansons ont aidé l'Amrouch à documenter et à préserver des parties de sa tradition orale, ainsi qu'à se connecter à ses identités française et kabyle, selon Google Doodle.

Il a également contribué à la co-fondation de l'Académie Berbère, La Cable Society, basée à Paris, discute de la culture berbère et il organise occasionnellement des réunions dans sa maison parisienne.

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